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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 18:06
La ville de Fougères mène une importante campagne de communication autour de son château.
La ville de Fougères mène une importante campagne de communication autour de son château.

Plusieurs villes du Vieux Continent prétendent détenir la plus grande forteresse d'Europe. Fougères en fait partie. Elle a engagé une grande campagne de communication.

Les remparts sont les principaux atouts touristiques de Fougères. La campagne publicitaire menée pour la promotion du château met en avant son statut de « plus grande forteresse d'Europe ». Cependant, à partir de Google, lorsque l'on tape « la plus grande forteresse d'Europe », on tombe d'abord sur des châteaux de la Costa Brava, en Lorraine ou encore en Allemagne. On sait aussi que les remparts de Carcassonne, que l'on a jadis considéré comme la grande soeur de Fougères, ont de sacrés atouts à faire valoir.

 

Sur le moteur de recherche, il faut aller en quatrième page pour trouver le premier site évoquant Fougères. Mais cela ne veut rien dire. Certaines villes payent cher pour être bien référencées sur Google, devançant parfois des sites et des informations plus pertinentes. « Contrairement à d'autres villes, nous avons un budget limité, souligne Danièle Guégan, directrice de communication de la ville de Fougères. Le référencement sur les moteurs de recherche ne nous semble pas prioritaire. »

Une campagne à 180 000 €

Le château a été construit à la fin du XIIe siècle, à une époque où les ordinateurs auraient servi de munitions pour les catapultes. Sa surface s'étend sur deux hectares, ce qui est imposant. Mais prenons l'exemple de Carcassonne : la fortification située en Languedoc-Roussillon semble plus étendue. « Oui, mais Carcassonne est une citadelle », répond Laurie Michel, l'animatrice du patrimoine. Ses remparts englobent une cité toute entière. Carcassonne est donc une ville fortifiée, « pas une forteresse ! »

Pour ce qui est des autres villes qui revendiquent le titre de la plus grande forteresse d'Europe, « leurs châteaux n'ont pas la qualité de conservation que l'on retrouve à Fougères, précise Laurie Michel. Ils leur manquent des éléments, ou ils ont été reconstruits. »

L'animatrice du patrimoine est rejointe dans ses propos par Danièle Guégan. « Nous avons vérifié avant de lancer le slogan qui accompagne la promotion autour du château. » En effet, la municipalité a mis en place une opération publicitaire axée sur l'affichage avec 300 panneaux répartis sur les villes de Rennes, Nantes, Laval, Caen, Saint-Malo, Angers, Avranches et Vitré. Un coût total de 180 000 €. La ville a ainsi choisi de mener une campagne à la taille de la forteresse qu'elle défend.

 

Romain LEPETIT.
Ouest-France
 
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26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 21:26
Lizio se rebelle : opération ville morte samedi
La commune de Lizio qui pourrait perdre son label Petites cités de caractère se rebiffe. D’après l’association du même nom, elle ne remplirait plus les critères nécessaires pour conserver l’appellation. Une exclusion que n’accepte absolument pas la population. De nombreux échanges ont eu lieu avec l’association précitée. En vain. Municipalité, commerçants, associations et les habitants de la commune ont donc décidé d’organiser samedi 26 juin, de 15 h à 16 h, une opération Lizio, ville morte.

Boutiques, cafés et commerces seront fermés, volets et stores des maisons baissés, circulation et stationnement interdits. L'église et toutes les façades des maisons du centre bourg ainsi que les panneaux et enseignes seront voilés de noir pour signifier la mort de la petite cité si elle devait perdre ce label.

 

Sources : Maville.com

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 20:35

Un petit cadeau de Jean-Marc :

 

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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 00:13

Mercredi 19 mai 2010
Saint-Yves

Ce jour a été choisi par la Région Bretagne pour symboliser notre région et pour montrer que nous avons une « BRETAGNE BELLE, PROSPERE, SOLIDAIRE, OUVERTE SUR LE MONDE ! ».

L'association la Vallée des Saints a également choisi ce jour pour vous annoncer le lancement d'une opération régionale et collective à laquelle vous pourrez tous participer.

Nous vous annonçons aussi l'arrivée
d'une magnifique sculpture monumentalece mardi 18 mai entre 10H30 et midi à la Vallée des Saints (Carnoët).

 

 

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Photographie de Saint-Corentin sculpté par Seenu prise par Christian CORLAY

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23 avril 2010 5 23 /04 /avril /2010 10:02
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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 09:51
Passion patrimoine : Bretagne au coeur

Mercredi 3 Mars à 20h35

Un documentaire écrit et réalisé par Reynald Merienne et Frédéric Wilner
Images : Christophe Trarieux
Une coproduction : Eclectic Production, France télévisions - pôle France 3


"Bretagne au cœur" nous emmène à la rencontre de passionnés qui s’engagent en faveur de tous les patrimoines de leur région. Dans le domaine de la préservation et de la mise en valeur du patrimoine naturel, est tentée, à la pointe du Finistère, une expérience inédite avec le parc marin d’Iroise. Le patrimoine sacré de Bretagne -en particulier ses innombrables et précieuses églises de village- est au centre de toutes les attentions, et génère une large mobilisation des populations. L’histoire de la Bretagne et le patrimoine qui en témoigne aujourd’hui font également l’objet de recherches, qui permettent à tous de mieux comprendre ses relations tumultueuses avec le royaume de France, ainsi que la fortune de ses marchands au 16ème siècle.

Thierry Canteri est directeur du parc marin d’Iroise dans le Finistère : protéger ce patrimoine culturel et naturel, tout en permettant aux activités humaines de s’épanouir tel est l’objectif de Thierry. Ce parc possède, entre autres richesses, une des seules colonies de phoques gris en France et le plus vaste champ d’algues d’Europe.
Thierry Canteri nous présente un autre exemple de développement durable sur l’île de Quéménès, située dans l’archipel de Molène. Un jeune couple, David et Soizic Cuisnier, y fait revivre une ferme insulaire.

Marie-Suzanne de Ponthaud, architecte en chef des monuments historiques, voue une passion au patrimoine sacré de Bretagne. Au cœur de l’église du village de La Martyre, Marie-Suzanne dirige la restauration de superbes vitraux du 16ème siècle.

Nicolas Fauchère, historien et archéologue, est passionné par la Bretagne, ses personnages mythiques et ses châteaux légendaires. Il nous entraîne à Vitré, une ville profondément transformée à la Renaissance par la confrérie des Marchands d’Outre-Mer.
Vitré célèbre son millénaire, notamment à travers un spectacle retraçant les heures les plus prestigieuses de son histoire. Les habitants de la ville participent à la représentation...

C'est dans ce dernier reportage qu'apparaîtra le château de Fougères.
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24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 22:55

Mercredi 3 mars, l’émission Des racines et des ailes, à 20 h 35, sur France 3, aura pour thème « La Bretagne au cœur » et mettra le château de Fougères à l’honneur !

Une équipe de tournage de la société Eclectic Prod avait passé plusieurs jours sur place, l’été dernier, afin d’engranger les images pour un documentaire de 110 minutes. Réalisé par Raynald Mérienne, il évoque le patrimoine breton à travers ses châteaux légendaires (dont celui de Fougères), l’art sacré (notamment l’art statuaire et les vitraux) et les côtes sauvages.

Le château de Fougères ouvre le documentaire, avec de superbes images aériennes. Il est ensuite évoqué à travers le rôle joué par François II dans la fortification des Marches de Bretagne. La séquence s’attarde sur les Tours Surienne et Raoul avec, en ligne de mire, les expériences de tir au canon menées par l’historien Nicolas Faucherre et ses collègues, pour mieux comprendre le rôle de ces tours.

On peut déjà visionner la bande-annonce sur internet : www.eclecticprod.com.


Sources : Ouest france
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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 20:34

rn 2601993 1 px 501 w ouestfranceÀ La Bazouge-du-Désert, l'atelier dirigé par Yves Martin fabrique des souliers en peausserie précieuse pour les maisons Delage et Christian Louboutin. Une production artisanale unique en France.

 

« Nos clientes célèbres ? Les humoristes Valérie Lemercier et Muriel Robin. Jane Birkin et Catherine Deneuve... Même Lauren Bacall et Jeanne Moreau se sont chaussées chez nous ! » Delage, spécialiste des peausseries exotiques, fabrique des chaussures de luxe pour femmes. L'atelier de production est à La Bazouge-du-Désert, à quelques kilomètres de Fougères.

Dans le petit hangar de 500 m2 tout en longueur sont façonnés des souliers de rêve pour acheteuses fortunées du monde entier. Dix personnes y travaillent patiemment les cuirs précieux : crocodile, python, galuchat (peau de raie), autruche, requin...

De la coupe à la finition, la transformation de ces peaux exotiques en souliers chics exige un savoir-faire artisanal hors pair. « Le galuchat, c'est ce qu'il y a de plus difficile, explique Yves Martin, directeur d'ACL (Atelier de chaussures de luxe). Les protubérances de la peau sont dures comme de la pierre. Beaucoup d'aiguilles cassent. »

De La Bazouge à New York

Prix moyen des modèles : 700 €. Pour une paire de bottes en croco, il faut compter près de 5 000 €. « Le luxe, c'est une niche. Une des rares qui permet encore de produire en France. » C'est à Paris, dans l'écrin raffiné de la boutique Delage, sous les arcades du Palais-Royal, que les clientes choisissent leur modèle, unique ou personnalisé. Cette année, la marque fête son vingtième anniversaire et vient d'ouvrir une nouvelle boutique à New York.

Côté fabrication, la crise a pourtant bien failli avoir la peau du chausseur de luxe. « En avril 2003, l'usine Delage de Fougères a dû fermer, rappelle Yves Martin, qui dirigeait l'unité de production à l'époque. Une quarantaine de personnes se sont retrouvées au chômage... »

Après la liquidation judiciaire, Didier Wirth, détenteur de la marque Delage, souhaite recréer un atelier. « On a démarré en novembre 2003 avec cinq personnes, ici, à La Bazouge-du-Désert. Des anciens de Delage. Mais fabriquer uniquement pour Delage n'aurait pas suffi. On a donc fourni d'autres marques, comme René Mancini. Qui a malheureusement déposé le bilan en 2005. »

Il faut alors trouver de nouveaux commanditaires. L'atelier doit produire environ 5 000 paires par an pour être viable. C'est la marque Christian Louboutin, basée en Italie, reconnaissable à ses semelles d'un beau rouge vif, qui a permis à l'atelier de continuer, souligne Yves Martin. « Louboutin nous donne à fabriquer certains de ses modèles. Ce qui nous permet d'atteindre, avec Delage et les commandes de plusieurs autres stylistes et boutiques, une production de 5 500 paires par an. »

 

Corinne BOURBEILLON.
Ouest-France
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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 09:06
Au XVIIIème siècle, la France possédait dans l'Océan Indien l'île Bourbon (actuellement la Réunion). Pour les navires malouins, c'était une escale sur la route des Indes. Afin de renouveler leurs activités, "ces Messieurs" (de Saint Malo) pensèrent au café. Les voilà partis pour Moka, dans l'actuel Yémen. Le deuxième voyage fut couronné de succès, aidé par l'abcès à l'oreille de l'iman du Yémen, habilement soigné par le chirurgien malouin. Ils rentrèrent à Saint Malo, les cales chargées de café. Au voyage suivant, l'iman leur confia en plus des plants de caféier pour en risquer la culture sur l'île Bourbon. Les Bretons qui avaient quitté Madagascar pour cette île, réussirent à faire fructifier l'unique plant qui avait survécu au voyage, d'autant plus facilement que des caféiers sauvages poussaient déjà sur l'île. On croisa les plants de Moka avec les sauvageons de Bourbon. Le produit de ces deux variétés donna un café excellent qui subvint aux besoins de la France vers le milieux du XVIIIème siècle.

Pourquoi ne pas faire profiter l'Île de France voisine et accroître la production (actuelle île Maurice)? Elle présente en plus des avantages que Bourbon n'a pas. Au fond d'une belle baie on créera le port, Port Louis, comme celui qui se trouve près de Lorient.

Le café poussa donc sur cette île et l'on appela la région plantée Moka naturellement.

Et le café eut le succès que l'on sait, malgré la marquise de Sévigné qui avait prédit, parlant d'un de nos plus grands auteurs dramatiques: "Racine passera comme le café !"
Double erreur chère marquise ! Certes le café est passé, passe et passera encore.... dans la cafetière. Quand à Racine, on n'a pas fini de le voir passer.... dans les manuels scolaires.

Sources : L'Almanach Breton 2009 
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16 janvier 2010 6 16 /01 /janvier /2010 18:08
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