Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de Jean-François Helleux
  • : Ce blog est destiné à toutes les personnes qui souhaiteront avoir de mes nouvelles ou tout simplement me lire. Lecture, écriture, histoire ...
  • Contact

Profil

  • Jean- François Helleux

Nombre de visiteurs

Recherche

Il y a actuellement    personnes connectées à Over-Blog dont    sur ce blog

Catégories

6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 09:28
Partager cet article
Repost0
23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 17:53
Partager cet article
Repost0
8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 09:27

Un faux wagon nazi destiné à «déporter les francophones» devant participer ce week-end au plus grand défilé du carnaval de Flandre a suscité l’indignation jeudi parmi les francophones et dans la communauté juive de Belgique.

Pour l’édition 2013, qui débute dimanche, du carnaval d’Alost, une ville située à 30 km de Bruxelles, une association folklorique a eu l’idée d’épingler le patron des indépendantistes flamands, Bart De Wever, et son parti, la Nouvelle alliance flamande (N-VA).

Cette association a donc construit un faux wagon de marchandises semblable à ceux utilisés par les nazis pendant la Seconde guerre mondiale pour envoyer leurs victimes, surtout les juifs et les tziganes, dans les camps de la mort. Même les fils barbelés y sont, selon des images diffusées jeudi sur les télévisions flamandes.

Comme il s’agit, a expliqué l’un des responsables de l’association, de se moquer de la politique «d’une autre époque» du nouveau maire N-VA d’Alost, qui entend défendre à tous crins le «caractère flamand» de cette cité, l’inscription «pour la déportation des francophones» a été apposée sur le wagon.

A l’intérieur du véhicule d’allure sinistre, qui diffusera en principe de la «musique allemande» au cours des trois jours de festivités, devrait se trouver une marionnette à l’effigie du Premier ministre, le socialiste francophone Elio Di Rupo, revêtue d’un t-shirt aux couleurs de l’arc-en-ciel.
Tous les Belges auront compris l’allusion à l’homosexualité du chef du gouvernement, un opposant à la N-VA, et la référence à l’actualité récente, puisque Bart De Wever vient d’interdire aux fonctionnaires d’Anvers, la ville qu’il dirige, de porter ce symbole de la culture gay, au nom de la «neutralité».

Une dizaine de membres de la société carnavalesque défileront à côté du char, en uniforme de SS sur lequel on peut voir le sigle de la N-VA remplacé par «SS-VA», ont-ils expliqué tout sourire.

L’affiche du groupe, un photo-montage, montre quant à elle Bart De Wever en officier nazi.
Bien que directement visés, les dirigeants de la N-VA, qui récusent tout lien avec l’extrême droite, ne se sont pas offusqués outre mesure.

" De mauvais goût"

«L’esprit du carnaval, c’est d’exagérer. Mais ici, c’est de mauvais goût», a simplement réagi Bart De Wever.
Un autre responsable flamand, non membre de la N-VA, le vice-Premier ministre libéral Alexander De Croo, a estimé qu’il fallait «aller au carnaval d’Alost» pour comprendre que, si «ce n’est pas toujours de bon goût», cela se passe «dans un contexte où on a l’habitude de se moquer de tout et de tout le monde».

«On ne fait pas de la politique quand on qualifie les francophones de manière aussi méprisante, comme des déportés, et qu’on fait allusion de manière scandaleuse à un drame de notre histoire. Il y a des choses dont on ne rit pas», a pourtant affirmé le chef du gouvernement régional wallon, Rudy Demotte.

«Il ne faut jamais banaliser la Shoah et la déportation», a, quant à elle, estimé la ministre de l’Intérieur, la centriste francophone Joëlle Milquet.

Le président du Comité de coordination des organisations juives de Belgique, Maurice Sosnowski, n’a lui non plus pas apprécié. «On peut être outrancier sans être inutilement blessant. Ici, les victimes de la Shoah sont blessées et il est évident que c’est inadmissible», a-t-il dit sur la télévision francophone RTL-TVI.

Le carnaval d’Alost a une histoire de plus de 600 ans et a été inscrit en 2010 sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’Unesco. Les chars qui y défilent portent souvent de grands personnages caricaturant, parfois de manière féroce, les responsables politiques locaux ou nationaux.

 

Le progres.fr

Partager cet article
Repost0
19 janvier 2013 6 19 /01 /janvier /2013 09:14
Relaxe d'un automobiliste soupçonné d'avoir été flashé 94 fois

Un chef d'entreprise de 40 ans, à qui il était reproché 94 excès de vitesse, dont plusieurs dizaines de grands excès de vitesse, a été relaxé vendredi par le tribunal correctionnel de Versailles.augmenter la taille du texte diminuer la taille du texte  

Photographe : Jean-Pierre Muller :: Une policière effectue un contrôle à l'aide d'un radar photo : Jean-Pierre Muller, AFP

La présidente du tribunal, Françoise Dufour, a considéré que les infractions étaient "insuffisamment caractérisées".

"Juridiquement, cette décision est exacte car il n'y a aucune photo, aucun témoignage pour assurer que mon client était au volant du véhicule", s'est félicité Me Adrien Weil, l'avocat du gérant d'une société de fruits et légumes originaire de Rouen. "La voiture était prêtée au sein de l'entreprise et aussi à titre privée", a-t-il souligné.

"C'est le problème des radars automatiques: l'avis de contravention est envoyé au propriétaire du véhicule un peu comme une bouteille à la mer et il faut que cette personne reconnaisse l'infraction", a ajouté Me Weil.

Le quadragénaire était notamment poursuivi pour "mise en danger d'autrui" dans les neuf cas où le véhicule roulait à plus de 180 km/h sur des portions de routes limitées à 70 km/h, notamment sous le tunnel de l'A86, appelé aussi "Duplex".   

Le 1er janvier 2012, la grosse cylindrée roulait à 235 km/h sous le "Duplex", au lieu des 70 km/h autorisés.

L'automobiliste, poursuivi en état de récidive, contestait être l'auteur de ces infractions. "Je ne suis pas systématiquement le conducteur de la voiture", avait répété en novembre devant le tribunal le quadragénaire, pressé de questions par la présidente.

"Les excès de vitesse ont toujours lieu le jour où il doit aller chercher son fils", qui vit chez son ex-femme dans l'Essonne, avait alors relevé Mme Dufour.

Une peine d'un an de prison et trois ans de suspension du permis de conduire avait été requise à l'encontre du chef d'entreprise, qui était absent vendredi pour le rendu du jugement.

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 22:58

Cinq touristes asiatiques voulaient se rendre à Lourdes. Elles ont programmé leur destination sur le GPS de la voiture, louée à Roissy et sont arrivées à Leuhan dans le Finistère !

 

leuhan_prisme.jpg
  •  
Cinq touristes asiatiques voulant se rendre à Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées, sont arrivées dimanche dans un village du Finistère abritant une chapelle Notre-Dame-de-Lourdes... à 800 kilomètres de leur destination.
Les cinq femmes, d'une trentaine d'années, "sont venues me voir avec un papier de réservation dans une résidence à Lourdes... mais quand j'ai vu Lourdes 65 100... j'ai dit : c'est pas tout à fait le même endroit !", a indiqué Manée Peron, la propriétaire, du bar-tabac Ti Manée de Leuhan.
La petite commune de Leuhan (700 âmes) abrite, au lieu-dit Lourdes, une chapelle érigée à la fin du XIXe siècle, là où se trouvait un oratoire abritant une statue de Notre-Dame-de-Lourdes.
"Elles ont dû taper Lourdes dans le GPS, sans mettre le département et puis voilà, elles ont débarqué à Leuhan", a poursuivi Mme Peron, expliquant que les cinq femmes, qui ne parlaient pas français, étaient arrivées dans la matinée à Roissy avec un vol provenant de Los Angeles, mais la propriétaire ne connaît pas leur pays d'origine. "Elles étaient complètement désorientées et carrément désespérées, du coup je n'ai pas poussé le bouchon a leur faire visiter la chapelle de Lourdes, franchement ça aurait été mal venu", a assuré la propriétaire du bar-tabac. "Je leur ai montré une carte et leur ai indiqué la route pour les Pyrénées".
Sans même prendre le temps d'un petit café, les cinq touristes sont donc reparties pour Lourdes, à quelque 800 kilomètres de là...
Partager cet article
Repost0
13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 19:05

403113 477588102283447 978963324 n

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 18:15

!cid 2 0BACD8C40BACD4C40067F8C0C1257AEA

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 18:11
Partager cet article
Repost0
12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 16:52

Une chômeuse espagnole, âgée de 44 ans, a annoncé dimanche proposer à la vente tous les organes qui ne seraient pas indispensables à sa survie pour se payer un logement pour elle et sa fille.

Une quadragénaire espagnole propose de vendre ses organes pour trouver un logement. © Copie d'écran du site internet du journal El Mundo.

Victime de la crise, désespérée, une quadragénaire espagnole au chômage a annoncé dimanche qu'elle proposait de vendre ses organes qui ne seraient pas indispensable à sa survie. Elle s'explique dans une vidéo diffusée dimanche sur le site internet du quotidienEl Mundo.

Un geste désespéré pour obtenir un logement

La chômeuse espagnole, âgée de 44 ans, explique qu'elle a besoin d'un logement pour y installer son foyer, "dans un endroit digne".

Elle est sans travail et souffre d'une incapacité à 66% à cause des mauvais traitements que lui a fait subir l'homme avec qui elle a vécu pendant 18 ans et qui veut maintenant la faire expulser de la maison où elle vit avec sa fille.

"J'ai d'abord mis en vente un rein, maintenant je propose aussi les cornées de mes yeux, un de mes poumons, un morceau de mon foie... Je vends n'importe quel organe de mon corps à qui peut le payer, et je fais cela parce que je suis tout simplement désespérée."

La quadragénaire ajoute : "J'ai reçu un préavis d'expulsion pour ma fille et moi. Nous n'avons pas de famille, nous ne savons pas où aller."

Trafic d'organes ?

Selon El Mundo, la femme a publié il y a deux semaines une annonce sur Internet pour proposer ses organes à la vente. Selon le journal, la femme n'a pas reçu d'offre pour ses organes, mais a déjà pris contact avec un médecin à Melilla dans la perspective d'un éventuel prélèvement.

"En Espagne, il est pratiquement impossible de faire un prélèvement d'organe suivi d'une transplantation sans que les autorités compétentes ne soient au courant", assure le quotidien espagnol, qui précise que la quadragénaire encourrait dans ce cas une peine de 12 ans de prison pour trafic d'organes.

Partager cet article
Repost0
9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 15:01
Partager cet article
Repost0